Jours significatifs et Réflexions mensuelles

« La célébration mondiale du Jour de la Terre » le 20 mars, le premier jour du printemps, est une question directement liée à saint François et aux résultats étonnants de sa vision et de sa vie. S’il était ici aujourd’hui, il concentrerait sans aucun doute toute sa prière et effort pour atteindre l’objectif initial du Jour de la Terre.

Le Jour de la Terre tombe à l’équinoxe de mars, qui détermine la date annuelle de Pâques. (Pâques est le premier dimanche après la première pleine lune suivant l’équinoxe de mars.)

Non seulement cela, l’équinoxe est aussi le Nouvel An en Iran et dans d’autres pays islamiques, ce qui rend possible l’attention pour un objectif commun — le soin durable de la Terre, avec justice et paix pour tous.

Cela nous aidera à montrer un véritable amour pour nos voisins du monde et la toile de vie qui couvre notre globe.

ST. FRANÇOIS ET LA NAISSANCE DU JOUR DE LA TERRE

Le premier Jour de la Terre a été inauguré à San Francisco —La Ville de St. Francis. Je connaissais depuis longtemps la prière de saint François : « Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix. Là où il y a de la haine, laisse-moi semer l’amour… », églises, écoles, entreprises - un événement vraiment complet avec une couverture massive dans les médias. Alors que l’événement était soutenu par des églises franciscaines et catholiques, la participation comprenait des synagogues et de nombreuses autres confessions. La Croix-Rouge a livré des plantes aux écoles pour que les enfants les ramènent à la maison.

En succédant aux Journées de la Terre aux Nations Unies, nous avons démontré que des personnes de croyances et de cultures diverses peuvent laisser place à leurs différences et se rassembler pour « la paix, la justice et le soin de la Terre ».

Un facteur dans le choix de la date était ma propre histoire. En 1957, j’ai attiré l’attention mondiale pour un éditorial dans mon journal hebdomadaire de Caroline du Nord « Toe Valley View ». Le premier satellite Spoutnik venait d’être lancé le 4 octobre. Aucun des médias n’a semblé noter que c’était le « Jour de fête de saint François. » Et lancé par l’URSS impie de l’époque ! (La personne qui a choisi la date doit avoir été un chrétien secret.)

Mon éditorial appelait à un satellite « Star of Hope » visible. Il serait lancé comme un symbole d’espoir pour favoriser la compréhension et la paix sur notre planète. Il a fait la une des journaux du monde entier.

Ma propre vie d’étude et de prière m’a amené à la conviction que nous avions besoin d’un objectif commun qui plairait aux personnes de toutes croyances et cultures — et d’un moyen d’attirer l’attention sur celui-ci. Nous avions besoin de quelque chose qui mettrait fin au terrible bilan de guerre et d’injustice de l’histoire.

Ces pensées ont planté les graines qui ont conduit au Jour de la Terre.

Un autre facteur a été mes efforts en 1963 pour obtenir une participation mondiale à une « Minute pour la paix » quotidienne. J’étais responsable de la Minute pour la paix à la radio dans le monde entier, qui a suivi la période de deuil du président Kennedy. « La paix commence dans l’esprit. » Nous avons demandé un spot radio d’une minute sur toutes les stations qui diffuserait le son d’une cloche et une pensée ou une prière pour la paix. Nous avons invité tous les auditeurs à se joindre à cette minute spéciale — pour approfondir leur engagement et accroître leurs efforts pour la paix dans le monde.

La Minute pour la paix est devenue la pièce maîtresse du Jour de la Terre. Lorsque nous sonnons la cloche de la paix de l’ONU, nous invitons les gens du monde entier à se joindre à deux minutes de prière sincère pour que nous surmontions le « doute avec foi » et que nous nous efforcions d’être un administrateur responsable de la Terre.

Priez pour que chaque année le Jour de Saint François et le Jour de la Terre apportent un nouveau sentiment d’identité avec toute la famille humaine et un engagement à voir la paix par la compréhension et l’amour — l’amour que Jésus a révélé. « Et puissions-nous mettre les pieds dans nos prières avec des actions pour aider à y arriver. »

Saint François et la naissance du Jour de la Terre par John McConnell

La Journée internationale des Jedi est une « vacances annuelles pour les fans de Star Wars », qui a débuté le 30^e anniversaire de la sortie du film Star Wars original… La Journée internationale des Jedi est conçue comme une célébration de l’étoile entière Saga des guerres. La célébration de la Journée internationale des Jedi en mai coïncide avec les mois de sortie de chaque film Star Wars. La date du 25 mai a été choisie, car le film original de Star Wars, A New Hope, est sorti le 25 mai 1977.

« Une vocation telle que définie dans un environnement religieux est une profession pour laquelle une personne est adaptée, formée ou qualifiée. Souvent, ceux qui suivent une vocation religieuse ont une inclination à entreprendre le travail, souvent appelé un appel. Ce type de vocation est soit professionnel soit volontaire et peut inclure de nombreuses origines religieuses différentes. »

Une vocation Jedi peut être considérée comme répondant au besoin spirituel d’un Jedi potentiel, et explique la tâche spécifique pour laquelle ce Jedi est spécifiquement doué, et implique généralement que ce même Jedi en question a une forme d’« appel » pour la tâche. Le mot « vocation » vient du latin vocare, qui signifie « appeler » ; cependant, son usage avant le XVI^e siècle, en particulier dans la Vulgate, fait référence à l’appel de toute l’humanité au salut, avec ses plus usage moderne d’une tâche de la vie employée pour la première fois par Martin Luther.

Outre son sérieux inné en tant que jour de fête païenne, Halloween présente une opportunité pour les enfants et les adultes. Dans son esprit libérateur, cette journée a été choisie pour refléter notre journée des jeunes Jedi et la journée des vocations.

C’est un jour pour nous d’honorer notre avenir et de transmettre notre héritage et nos traditions. Une simple tradition de faire sourire un enfant et, pour une journée, de mettre de côté toute la précipitation et la routine normales et de passer du temps avec notre avenir.

Aujourd’hui, nous célébrons non seulement l’anniversaire de TOTJO, mais aussi la communauté des personnes qui se rencontrent ici.

Aujourd’hui, nous célébrons tous ceux qui visitent et sont membres ici, peu importe de quel milieu ils viennent et de quelle manière ils peuvent participer.

Dans la Force chaque individu est unique à son image où chacun a des talents différents. Et tout comme les ingrédients d’une recette, nous apportons tous des éléments différents dans la communauté.

En plus de célébrer tous les différents groupes et personnes qui font partie de notre communauté actuelle, nous nous souvenons également des personnes qui nous ont précédés. Nous nous souvenons des personnes qui ont fondé ce temple il y a des années et nous nous souvenons des personnes qui ont construit ce site du temple il y a 4 ans.

Le but de ce souvenir n’est pas de rêver avec nostalgie du passé, mais de remercier la Force Vivante pour la vie, le travail et le témoignage de ces personnes. Nous nous souvenons de la façon dont ils ont vécu et de l’amour et de l’attention qu’ils nous ont témoignés, et nous reconnaissons tout cela devant Communauté et Force.

Les relations humaines ne sont pas toujours faciles, et les difficultés que nous avons font partie du fait d’être humain et font partie du risque d’être membre d’une communauté.

Les relations sont au cœur de ce que signifie être humain. Certaines relations sont faciles et d’autres difficiles. Certains demandent beaucoup d’efforts et d’autres très peu d’efforts.

TOTJO a montré que notre rapport à la Force peut aussi être comme ça : parfois c’est facile et parfois c’est difficile. Parfois, notre relation avec la Force coule à flots pendant des semaines, des mois ou des années, et d’autres fois nous luttons : soit avec la foi, soit avec la proximité, soit avec la perception de la présence de la Force.

Mais reconnaître les difficultés ainsi que la qualité de nos relations est une chose véridique et une chose authentique. Et les meilleures relations sont celles dans lesquelles nous sommes libres d’être véridiques et authentiques. Car, lorsque nous reconnaissons nos différences, nos désaccords et même nos défauts, nous pouvons faire amende honorable et commencer à avancer de manière constructive.

Nous pouvons apprendre à pardonner et nous pouvons apprendre à être pardonnés.

Il y a un groupe de personnes ici qui n’est pas encore mentionné. Nous avons mentionné les personnes qui font partie de notre communauté aujourd’hui. Et nous avons mentionné les personnes qui nous ont précédés. Mais nous n’avons pas mentionné les personnes qui viendront après nous.

En réfléchissant à qui nous sommes maintenant et à qui nous voulons être à l’avenir, certains d’entre nous auront des idées différentes ; je serais surpris s’il n’y avait pas de désaccord, mais tout cela est OK.

Soyons conscients alors que nous avançons dans ce qui est pour nous une nouvelle année, que la Force Vivante bougera avec nous et nous donnera la force de continuer à être une communauté qui pardonne et pardonne.

Puisse la Force Vivante ouvrir nos yeux et nos oreilles à son travail dans nos vies et dans le monde et nous aider à répondre à chacun de nos appels.

Que la force soit avec nous !

C’est un jour où nous honorons la fête laïque appelée Jour de l’An. Nous clarifions une fois de plus dans notre esprit notre place dans le monde et le contexte dans lequel nous vivons. C’est un rappel constant que l’occasion nous est donnée chaque jour de l’année. Donc, peu importe quand l’année ou d’ailleurs le mois ou la semaine commence. C’est le jour, c’est le maintenant qui compte. Nous voulons honorer ce que la Force a rendu possible. En tant que partie de l’histoire, nous évoluons toujours avec le temps. Ironiquement, l’histoire devient notre avenir.

Janvier — Réflexion : Tradition, mais Originalité

Février — Réflexion : attachement, mais liberté

Mars — Réflexion : désespoir, mais espoir

Avril — Réflexion : lâcheté, mais courage

Mai — Réflexion : Ego, mais humilité

Juin — Réflexion : chaos, mais harmonie

Juillet — Réflexion : corruption, mais intégrité

Août — Réflexion : inconstance, mais discipline

Septembre — Réflexion : Iniquité, pourtant Justice

Octobre — Réflexion : folie, mais sagesse

Novembre — Réflexion : insouciance, mais responsabilité

Décembre — Réflexion : Avidité, mais générosité

Les Réflexions sont des dichotomies de, faute de meilleurs termes, « les vices et les vertus » de la nature humaine. On ne peut réduire toutes les variables de l’expérience humaine en 12 dichotomies vice/vertu ni insister sur le fait que ce sont les plus importantes. Ces périodes incitent à la réflexion, que ce soit sur un vice et une vertu qu’elles promeuvent ou sur un vice et une vertu non répertoriés. Ils rappellent aux Jedi que nous ne serons jamais « plus qu’humains », ce qui devrait être accepté et non regretté.

En tant que réflexions sur la nature humaine, il est important que nous nous souvenions non seulement des objectifs pour lesquels nous nous efforçons, mais aussi des lacunes qui nous retiennent, nous acceptons ce fait, à propos de nous tous, avec humilité. Nous devrions reconnaître toutes les variations de la nature humaine, nous ne voudrions pas oublier ou rejeter les caractéristiques selon lesquelles de nombreux membres de la société organisent leur vie. Bien que ces dichotomies soient des opposés complémentaires, les limites du langage nous encouragent à les voir au sens large, à voir les nuances et les significations étendues derrière chacune d’elles et comment elles s’appliquent, s’appliquent et pourraient s’appliquer à nous dans le passé, le présent et le futur.

Réfléchissez et apprenez.

« Pour tout il y a une saison »
– Ecclésiaste 3:1
– Les Byrds, tournez ! Tourner ! Tourner !

Notre religion est de nature syncrétique, ce qui signifie qu’elle est basée en partie sur des traditions existantes. Le Temple conserve (et néglige souvent) un calendrier des jours de fête, dont beaucoup sont tirés d’autres religions ; mais souvent ces fêtes religieuses s’inspirent de tendances plus larges liées au passage de l’année. Le passage des saisons est familier aux gens du monde entier, bien qu’à six mois de distance selon l’hémisphère dans lequel vous résidez : l’espoir et la promesse d’une nouvelle vie au printemps, la chaleur et la lumière de l’été, la récolte d’automne et la « mort de l’année » froide et sombre en hiver. Les humains vivent sur une seule planète, et ce cycle de saisons fait partie de nous tous.

Au fil des mois, les fêtes religieuses, spirituelles et folkloriques nous rappellent une variété de sentiments et nous invitent à réfléchir sur un large éventail de valeurs et d’idées. Du Nouvel An et des résolutions familières pour changer nos habitudes, en passant par la Saint-Valentin et son accent sur les liens, pour finalement créer la vie, en passant aux histoires d’espoir des festivals de Pâques et de Holi du printemps ; puis tout au long de l’année, le courage reflété à la fois par la Pâque et le Vaisakhi, l’harmonie consacrée par le solstice d’été, l’intégrité au ramadan, Roch Hachana et l’accent mis sur le jugement ; et alors que les soirées d’automne commencent à arriver, la célébration de la lumière de la sagesse à Diwali, une reconnaissance du conflit humain et de notre responsabilité autour du Memorial Day, enfin dans la période de l’avent avec son accent sur la générosité. Le déroulement de ces festivités nous est commun à tous, que nous choisissions de nous y joindre ou non.

Que nous nous souvenions de considérer ces traditions très humaines à des jours donnés semble moins pertinent que de nous rappeler de réfléchir sur chacune d’elles à un moment donné de l’année. En tant que tel, le Clergé du Temple a voté pour remplacer le calendrier des Fêtes existant et souvent oublié par un calendrier basé sur les Réflexions saisonnières mensuelles.

Ces réflexions s’inspirent du passage de l’année décrit ci-dessus et, comme notre code et notre credo, sont basées sur des dichotomies apparentes dans la nature humaine. Nous connaissons tous des expressions telles que « l’émotion, mais la paix », ou « là où il y a le doute, la foi ». L’une des raisons pour lesquelles nos valeurs sont présentées de cette manière est que nous reconnaissons que les humains ne sont pas parfaits. Nous pouvons être paisibles un jour et émotifs le lendemain. Nous ne cherchons pas à nier ou à ignorer l’émotion — juste à donner la priorité et à cultiver la paix. Les Réflexions suivent ce même schéma, et les Jedi sont invités à considérer ces idées connexes, « échelles mobiles » ou chemins, dans leur propre vie.

Plutôt que de répéter la formule des jours de fête à date unique qui peuvent être manqués ou oubliés, nous avons plutôt consacré des mois entiers à des réflexions particulières — des saisons, si vous préférez, pour examiner des sujets particuliers. Celles-ci encouragent les Jedi à réfléchir à des valeurs spécifiques pertinentes pour les humeurs dominantes de la saison. Le clergé a l’intention d’avoir des services/sermons au début de chaque mois pour introduire la Réflexion en question, et inviter la concentration, la discussion et la méditation sur les sujets présentés dans les semaines qui suivent.